heero libère les données de votre territoire : La Rochelle
Bien conscient des enjeux de la transition énergétique en milieu résidentiel mais aussi de la complexité de cet écosystème, heero se positionne comme l’allié de la rénovation énergétique des particuliers. En ouvrant l’accès aux données du territoire, des dispositifs et des acteurs, on aide à comprendre l’impact réel d’une rénovation énergétique, à mieux l’anticiper, à mieux la valoriser.
Découvrons ce que nos territoires ont à nous apprendre.
A La Rochelle, valorisez votre patrimoine à moindre coût grâce aux éco-primes
A La Rochelle comme dans toute la Nouvelle-Aquitaine, rénover votre bien immobilier ancien peut vous permettre de le valoriser jusqu'à 20 %, tout en gagnant en confort thermique. Bénéficiez en plus de :
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La Rochelle, vue à travers les données de son territoire
Avant de découvrir la commune de La Rochelle, parcourons sa carte d’identité immobilière.
La Rochelle, c’est :
76 114 habitants en 2018
52 582 logements
23,7 % d’habitants entre 15 et 29 ans
37 % de propriétaires occupants (contre 58 % en France)
62 % de locataires
Données Insee.
La Rochelle dispose d’un terrain économique et social stable ainsi que d’une politique urbaine affirmée, rendant propice le déploiement rapide de la transition énergétique. Diviser par 4 les émissions de gaz à effet de serre en 2040 au lieu de 2050, voilà l’un des objectifs concrets fixés par La Rochelle en la matière. Apprenons-en plus sur l‘ADN de cette commune, poumon de la 5ème plus grande ECPI de Nouvelle Aquitaine.
La Rochelle, une “ville territoire” aux forts enjeux démographiques
Si l’évolution démographique est assez stable depuis les années 2000 à La Rochelle, la commune continue d’attirer, en particulier des jeunes et des retraités. Les premiers, séduits par l’environnement étudiant, comptent pour près de 28 % de la population. 30 % sont quant à eux retraités, habitant principalement l’aire d’influence directe de la commune. Et oui : La Rochelle même n’est pas conditionnée par une forte dynamique de construction de maisons secondaires. A contrario, les communes de Châtelaillon-Plage, Angoulins ou encore La Flotte voient leur parc secondaire se développer.
Ce profil de résidents assez marqué, qu’il s’agisse de jeunes ou de retraités, induit des problématiques spécifiques : plus d’un ménage sur deux étant représenté par une personne seule (55 %), le besoin en nouveaux logements est élevé et surtout grandissant.
Aussi, si la consommation d’espaces urbanisés à La Rochelle est pour l’instant raisonnable, le rythme d’accroissement du parc de logements a été d’environ 2,5 % par an, pour répondre à ce besoin en foncier. Un bien sur trois construit post-guerre est un appartement.
La deuxième problématique urbaine est similaire à celles des autres grandes agglomérations : une migration des familles en dehors de la ville, avec pour objectif de bénéficier de prix plus attractifs sur de plus grandes superficies.
Dans l’EPCI, les prix de l’immobilier sont effectivement très disparates : entre 1 444 € et 6 437 € dans l’ancien, tous types de biens confondus. Pour autant, le marché est encore relativement dynamique : près de 14 000 biens vendus depuis 2014, majoritairement des appartements.
Ce schéma migratoire - pour l’instant à ses prémisses à La Rochelle - la commune souhaite à tout prix l’éviter ! Contenir la propagation urbaine déraisonnée et l’évolution démographique est d’ailleurs au cœur des engagements. Il s’agit a contrario d’améliorer la qualité de vie des résidents actuels et de tisser une réelle unité territoriale entre villes et villages pour conserver une diversité de profils, sans forcément chercher à attirer de nouveaux habitants.
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L’unité territoriale pour favoriser la transition énergétique
Une politique urbaine globale et affirmée pour les 28 communes de l’EPCI
Les documents d’urbanisme tels que le SCoT et le PLUi de La Rochelle sont particulièrement clairs en matière de transition énergétique et de développement urbain. La commune s’est dotée d’un plan climat énergie territorial (PCET) dans le cadre de sa politique zéro carbone lancée en 2019.
Parmi les axes poursuivis, le développement du renouvelable à travers le solaire thermique mais également la géothermie et l’éolien. Ce sont les énergies renouvelables les plus plébiscitées par l’ECPI, une trajectoire induite par sa morphologie territoriale et cohérente avec celle prise par les grandes agglomérations de Nouvelle-Aquitaine.
Le logement aussi, est identifié comme essentiel. Objectif : atténuer la migration vers les zones périurbaines, mais pas que ! L’efficacité énergétique des logements constitue également un enjeu fort pour permettre de toucher du doigt l’objectif de diviser par 4 les émissions de GES d’ici à 2040. C’est d’autant plus vrai qu’à La Rochelle, 77 % du parc global a été bâti avant la première réglementation thermique. Ces biens consomment en moyenne 20 à 40 % de plus que les logements post-1999 : une réhabilitation globale s’impose.
Pour autant, la commune de La Rochelle entend préserver son patrimoine architectural historique, intérieur et extérieur. Un OAP (Orientations d’Aménagement et de Programmation) fait ainsi office de régulateur sur l’ensemble de la communauté d’agglomération, notamment sur la rénovation des toitures, murs, fenêtres et façades.
La Rochelle, vue à travers son parc immobilier
La Rochelle a comptabilisé 15 000 DPE depuis 2013. A l’instar des autres grandes agglomérations, le DPE majoritaire est le D, suivi de près par le E. La forte part de logements E est notamment liée à la période de construction prédominante dans la commune, rappelons-le avant 1976.
Contre toute attente dans l’ancien, le profil énergétique des appartements est moins avantageux que celui des maisons. On recense 8,2 % de passoires énergétiques et 38,2 % d’appartements anciens énergivores, contre 7,7 % de maisons passoires et 32,1 % de maisons énergivores dans l’ancien. Dans le neuf en revanche, la part d’appartements économes est en toute logique nettement supérieure.
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Rénovation énergétique à La Rochelle : cela vaut-il vraiment le coup ?
La Rochelle est affublée par un climat océanique tempéré et située en zone h2. Si cette zone géographique reste la moins exposée aux aléas climatiques, il n’en reste pas moins que la rénovation énergétique y est essentielle, pour les raisons exposées ci-dessus. Mais en tant que propriétaire à La Rochelle, avez-vous également un intérêt financier à rénover dans la commune ?
Prenons l’exemple d’une maison de 116 m² et 500 m² de jardin, 3 chambres, classée F et qui est affichée actuellement à vendre à 426 000 € (FAI, soit 410 000 € net vendeur). Elle est située à Dompierre sur Mer, à 5 minutes seulement de La Rochelle. Considérons que cette maison est occupée par un couple avec deux enfants disposant d’un revenu de référence moyen de 24 343 €.
Rappelons que, construite en 1970, cette maison fait partie de la cible principale de logements à rénover en priorité : elle a été bâtie avant les premières réglementations thermiques.
Pour améliorer les performances énergétiques de la maison, le DPE préconise les travaux suivants, pour un total de 35 000 € à 45 000 € :
Pour ces travaux, le ménage bénéficie d’aides financières à hauteur de 10 000 € (3 500 € de CEE et 6 500 € de MaPrimeRénov’). Le reste à charge est donc compris entre 25 000 € et 35 000 €.
Grâce aux travaux, cette maison passe en D, et n’a plus de dépréciation de sa valeur de 20 % (valeur verte des Notaires). Sa valeur passe à 512 k€.
Si l’on soustrait les 25 à 35 k€ de travaux, le projet de travaux de rénovation énergétique permet à son propriétaire une plus-value de 66 à 77 k€.
Des aides locales supplémentaires pour favoriser la rénovation énergétique
Outre les aides financières gouvernementales, l’agglomération Rochelaise propose à ses résidents une aide rénovation bas carbone accessible aux propriétaires occupants. Pour en bénéficier, il faut justifier d’un projet comprenant au moins deux postes de rénovation BBC compatibles. Les rénovations les plus efficaces peuvent être indemnisées jusqu’à 7 000 €, tous niveaux de revenus confondus.