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Toutes les clés pour vous aider à choisir un radiateur à inertie comme chauffage

Fonte ou céramique, inertie sèche ou fluide, vertical ou horizontal, basique ou connecté, 500 W ou 2 000 W… Choisir un radiateur à inertie implique de nombreux critères tant sur ses performances que son esthétique. Chacun de ces choix a une incidence significative sur le prix de l’appareil et sur sa capacité à fournir le confort thermique qui fait la réputation du fonctionnement à inertie. Notez néanmoins que cet appareil est éligible à la prime CEE radiateur à inertie. Comment s’assurer de faire le meilleur choix selon son projet ? Voici les critères essentiels à prendre en compte pour investir dans le radiateur à inertie qui vous correspond.

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Comment choisir un radiateur à inertie : la puissance

La puissance est le premier critère à prendre en compte dans le choix de votre radiateur à inertie. C’est d’elle que dépendent principalement son prix, ses performances et sa longévité. La puissance s’exprime en watts et détermine la chaleur que l’appareil est capable de générer.

Le prix et la taille, en lien direct avec la puissance du fonctionnement à inertie

Un radiateur à inertie repose sur un principe d’accumulation de l’énergie qui est restituée lentement même si l’appareil est éteint. Pour emmagasiner cette chaleur, il présente un cœur de chauffe composé d’un matériau très réfractaire comme la fonte ou la céramique lorsqu’il est à inertie sèche. À inertie fluide, la chaleur est concentrée dans un liquide caloporteur qui parcourt le corps de chauffe de l’appareil souvent en fonte lui-même. La capacité d’inertie est directement liée à la nature du composant de chauffe, à sa taille et à sa densité. De fait, plus la puissance augmente, plus l’appareil est imposant et plus son prix est élevé.

Attention à bien évaluer la puissance nécessaire !

Un radiateur trop puissant pour vos besoins coute inutilement cher à l’achat et n’exploite pas ses capacités. À contrario, un radiateur dont la puissance est trop faible pour les besoins de chauffage ne vous procure pas le confort de chauffe espéré, même en fonctionnant constamment à plein régime. De plus, il s’use plus vite et consomme davantage d’énergie. Moins cher à l’achat, il engendre des frais élevés une fois installé.

Le bilan thermique de votre logement et le nombre de radiateurs

On estime qu’il faut en moyenne une puissance de 100 W par mètre carré ou 40 W par mètre cube pour chauffer de façon satisfaisante (environ 20 °C) un intérieur avec une qualité d’isolation moyenne. Grâce aux normes RT2012 et RT2020, ces besoins peuvent être divisés par deux ! La température extérieure doit également être prise en compte, car la puissance nécessaire augmente dans les régions aux hivers rigoureux.

Pour une chaleur homogène dans toute la pièce, n’hésitez pas à multiplier les appareils de puissance moindre plutôt que de centraliser la production de chaleur dans un seul équipement, surtout si la pièce est grande. Vous obtenez un meilleur confort de chauffe en répartissant la chaleur sur deux radiateurs à inertie de 1 000 W dans une pièce de 20 m² que sur un seul radiateur de 2 000 W.

Comment choisir un radiateur à inertie ? La forme

Selon l’espace disponible sur la paroi prévue pour l’accueillir, votre radiateur peut être horizontal, vertical ou de forme plinthe. Un radiateur à inertie est plus imposant que les radiateurs électriques classiques, car sa capacité d’inertie et de restitution de chaleur douce par rayonnement est directement liée à sa masse et sa surface de chauffe. Il est donc visuellement plus présent que d’autres radiateurs et sa taille peut poser certaines contraintes. Une paroi étroite peut accueillir un radiateur à inertie vertical de 2 000 W qui peut faire deux mètres de hauteur et apporte une touche de modernité. Un radiateur horizontal exploite l’espace sous une fenêtre et confère à la pièce un style classique et neutre. La forme plinthe permet de s’adapter à des agencements complexes. Votre budget détermine également l’esthétique et la qualité des finitions du modèle.

Il est bon de préciser que la forme d’un radiateur à inertie n’affecte pas ses performances. Un radiateur à inertie vertical apporte autant de confort de chauffe avec la même consommation d’énergie qu’un radiateur horizontal ou plinthe de même facture.

Choisir un radiateur à inertie en fonction de sa connectivité

Plus de risques d’oublier de régler le radiateur en mode hors gel lorsque vous vous absentez longuement ! Grâce aux dernières avancées technologiques, votre radiateur à inertie connecté peut anticiper votre heure d’arrivée alors que vous êtes en chemin. Ainsi, lorsque vous pénétrez dans votre logement, le confort de chauffe y est optimal. Il peut aussi réduire sa production de chaleur en détectant une fenêtre ouverte afin de ne pas consommer inutilement de l’énergie. Selon le modèle, il mémorise vos habitudes de déplacements et le temps que vous passez dans une pièce pour la chauffer de façon efficace avec toujours à la clé une consommation d’électricité sans aucun gâchis. Vous pouvez même contrôler et surveiller le chauffage de votre résidence secondaire et contrôler à chaque instant la consommation d’électricité. Ces différentes options impliquent un prix plus élevé à l’achat, mais permettent une gestion quasiment autonome et sans contrainte de vos radiateurs.

Le radiateur connecté vous apportera un contrôle optimal de votre consommation et vous offrira de belles économies

Choisir le type d'inertie

Vous devez choisir entre deux types de fonctionnements à inertie : l’inertie sèche et l’inertie fluide. Quel que soit le type d’inertie, les performances sont excellentes et à la hauteur de la réputation des radiateurs à inertie. On remarque quelques disparités qui peuvent aider à faire un choix :

Le prix

En général, un radiateur à inertie sèche est un peu plus cher qu’un radiateur à inertie fluide de même puissance. Quel que soit le type d’inertie, il vous en coute au moins 300 euros pour un radiateur à inertie de bonne facture. Les disparités de prix dépendent plutôt du type de matériau sec utilisé et de la présence d’une technologie connectée. La céramique est le matériau qui présente la meilleure inertie, mais c’est aussi le plus cher. Les derniers modèles avec module de communication intégré peuvent rapidement dépasser 1000 euros.

La longévité

Un radiateur à inertie est réputé pour sa robustesse. À inertie sèche ou fluide, leur longévité aide à rentabiliser l’investissement à l’achat. On remarque que le fonctionnement à inertie sèche est souvent synonyme d’une durabilité accrue. L’entretien est simplifié à l’extrême et porte essentiellement sur un dépoussiérage régulier. Une réparation éventuelle porte sur la résistance électrique qui chauffe le matériau sec ou le fluide caloporteur. Cependant, un radiateur à inertie fluide peut présenter un risque propre de fuite du fluide caloporteur, dû à l’usure de certaines soudures ou à une mauvaise installation.

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Choisir un radiateur à inertie : L’emplacement

Un radiateur à inertie fluide monte un peu plus vite en chauffe qu’un radiateur à inertie sèche. Il est plutôt conseillé pour les petites pièces à usage ponctuel comme les salles de bains. De plus, il est souvent un peu moins massif que son homologue à inertie sèche et est donc adapté aux espaces restreints.

Un radiateur à inertie sèche est plus adapté à une chambre à coucher. Son fonctionnement est particulièrement silencieux : le chauffage lent et la température constante inhérents à son fonctionnement général évitent les claquements métalliques désagréables que l’on peut entendre avec des radiateurs classiques. De plus, il est exempt des légers bruits causés par le fluide caloporteur au début de chaque cycle de chauffe.